Sèves brutes Présent
Nos sangs communs, réflexions sur ce qui nous traverse en trois temps : maintenant
Ce serait un parcours où le temps serait visible, futur immense mais insaisissable dans l’installation du Château, appréhendable mais débordante dans le présent de la galerie et enfin très concentré pour un passé qu’il faut exhumer au musée.
Ce serait une histoire sans commencement ni fin, une histoire de temps et de rencontres, des rencontres entre les hommes, des rencontres intérieures, des rencontres d’émotions aussi. Des rencontres juxtaposées et corrélées et parfois aussi immatérielles qu’essentielles
Sèves brutes Futur
Nos sangs communs, réflexions sur ce qui nous traverse en trois temps : bientôt
Ce serait un parcours où le temps serait visible, futur immense mais insaisissable dans l’installation du Château, appréhendable mais débordante dans le présent de la galerie et enfin très concentré pour un passé qu’il faut exhumer au musée.
Ce serait une histoire sans commencement ni fin, une histoire de temps et de rencontres, des rencontres entre les hommes, des rencontres intérieures, des rencontres d’émotions aussi. Des rencontres juxtaposées et corrélées et parfois aussi immatérielles qu’essentielles
TEVA
Nids terriers et autres refuges
Ni l’oiseau, ni l’écureuil pas même le poisson, n’attendent de l’homme qu’il leur fasse un abri. Dans un parc, de surplus botanique, on s’adresse aux plantes pour parler aux hommes. Je demande alors, pour la plante y-a-t-il nid, terrier ou abri ? Non. Je demande pour l’homme qu’est-ce que le nid, le terrier ou l’abri?
L’absence en nos pas
Aller vers des parts de soi que l'on ne connait pas
Dans les ténèbres qui m’entourent, je cherche une voix, une voie vers la lumière. Les sons qui me parviennent n’ont aucun sens, ils se mêlent à mes pensées et ne tissent rien. Ils jaillissent de toute part, je me perds.
C’est le sentiment familier des sauts dans l’inconnu que chaque matin appelle et chaque soir apaise.
J’ébauche des cartes que je ne peux lire mais dont la présence me rassure. La matière du papier sur lequel elles s’esquissent , les éclats dans ma mémoire inscrivent plus valablement le nord que ce que je tente de déchiffrer des alentours (…)
Call Out (re)cueillir
De mutation en émergence : des franchissements infinis - 2ème partie
Quel est cet endroit fragile et subtile dans lequel nous nous posons pour enfanter nourrir. De quelles brindilles nous chargeons nous pour déposer nos âmes nos secrets nos trésors. Quel est le lieu de notre sécurité, projection dans nos imaginaires, mais aussi celui du rejet, de l’expulsion. Y-recueilleront nous ce qui y nait de nous ou nous nous approprierons-nous le fruit des autres ?
Naître c’est avoir été lentement transformé, avoir accepté d’abandonner le connu.
Call in (re)muer
De mutation en émergence : des franchissements infinis - 1ère partie
les changements intimes qui nous conduisent s’enroulent autour de nous en paravents pudique. Un cocon en bois et verre, pour lieu et nous qui naviguons entre un avenir projetéet nos mémoires fragmentaires témoignant des mues passées dans des livres décomposés et fragmentés.