Une consonne muette entre parenthèse pour définir l’un, et le conjuguer.
S’il s’élançait vers les cieux, comme dans le rêve d’un roi, abattu et de ses racines rien ne naitra autre que la folie créatrice de celle qui a vécu sur ses pieds. Lui ai-je enlevé son coeur d’homme pour lui substituer celui de l’animal ? La rosée ne l’a pas nourri. J’ai gravé les prophéties, l’ai cerclé d’or et d’argent en lieu et place du fer et de l’airain, pareillement chaines.
La force bâtie par les ans, rompue par l’homme porte les traces de ses combats et de ses temps.
Les oiseaux de chair et de sang l’ont depuis longtemps déserté, mais il porte plus que tout arbre leurs fruits renouvelés, j’ai entendu l’oiseau et l’ai honoré.
L’arbre est abattu au sol, c’est le (h)Être, le nid du nid. On n’a pas entendu le fracas de sa chute en d’autre lieux, mais ici, en silence, il se réverbère . Chacun de ses tronçons porte des fruits de ses rencontres d’autres temps, avec tous ceux qui ont nichés en lui. Ces traces sont ré-interprétées en psaumes, en or et ombres portées. Le (h)Être demande si l’on ne s’est pas abusé sur sa force.
En sa souche cela est écrit dans le rêve de Nabuchodonosor, à monter trop haut vers le ciel il a fallut l’abattre, pour lui permettre d’un jour renaitre. Mais que sont les rêves.
Une consonne muette entre parenthèse pour définir l’un, et le conjuguer.
S’il s’élançait vers les cieux, comme dans le rêve d’un roi, abattu et de ses racines rien ne naitra autre que la folie créatrice de celle qui a vécu sur ses pieds. Lui ai-je enlevé son coeur d’homme pour lui substituer celui de l’animal ? La rosée ne l’a pas nourri. J’ai gravé les prophéties, l’ai cerclé d’or et d’argent en lieu et place du fer et de l’airain, pareillement chaines.
La force bâtie par les ans, rompue par l’homme porte les traces de ses combats et de ses temps.
Les oiseaux de chair et de sang l’ont depuis longtemps déserté, mais il porte plus que tout arbre leurs fruits renouvelés, j’ai entendu l’oiseau et l’ai honoré.
L’arbre est abattu au sol, c’est le (h)Être, le nid du nid. On n’a pas entendu le fracas de sa chute en d’autre lieux, mais ici, en silence, il se réverbère . Chacun de ses tronçons porte des fruits de ses rencontres d’autres temps, avec tous ceux qui ont nichés en lui. Ces traces sont ré-interprétées en psaumes, en or et ombres portées. Le (h)Être demande si l’on ne s’est pas abusé sur sa force.
En sa souche cela est écrit dans le rêve de Nabuchodonosor, à monter trop haut vers le ciel il a fallut l’abattre, pour lui permettre d’un jour renaitre. Mais que sont les rêves.