N’oublie pas l’hiver : ombres portées
Le titre m’est venu en premier, n’oublie pas l’hiver, et ses longues ombres, où tout se passe sous terre. Alors que la douceur du printemps s’apprêtait à laisser la place a la chaleur de l’été, je proposais un temps marqué à contre temps, celui de l’hiver au printemps, d’une heure abstraite qui ne revient jamais tout a fait de la même façon.
N’oublie pas l’hiver c’est aussi le lien qui nous lie a l’histoire, le cycle des vies et des morts, de la folie des hommes, des arrachements et des départs.
J’ai donc re-dessiné les ombres des arbres du mois de février en miroir. Ces ombres sont destinées a voyager loin de leur source.
Le titre m’est venu en premier, n’oublie pas l’hiver, et ses longues ombres, où tout se passe sous terre. Alors que la douceur du printemps s’apprêtait à laisser la place a la chaleur de l’été, je proposais un temps marqué à contre temps, celui de l’hiver au printemps, d’une heure abstraite qui ne revient jamais tout a fait de la même façon.
N’oublie pas l’hiver c’est aussi le lien qui nous lie a l’histoire, le cycle des vies et des morts, de la folie des hommes, des arrachements et des départs.
J’ai donc re-dessiné les ombres des arbres du mois de février en miroir. Ces ombres sont destinées a voyager loin de leur source.